top of page
Voler nécessite 2 ailes
coeur ailé.gif

Compassion

Sagesse

Jugements

Peurs

​Notre souffrance blesse nos ailes

notre façon de nous quereller (coeurailé)

blesse notre cœur….

 

 

Le juge et la victime : il y a deux chefs principaux en enfer : le Juge et la Victime. Le Juge nous accuse. Et la victime reçoit ses accusations et se sent coupable. Ces deux aspects de nous-mêmes se haïssent mutuellement. La communication entre eux a été rompue au cours de notre éducation, quelles que soient les croyances des adultes qui nous ont élevés. Don Miguel Ruiz

La peur du jugement déploie toutes sortes d’aversions, d’émotions telles que la colère, la tristesse, des ressentiments, de la rancœur.

Le jugement, les interprétations, les projections troublent notre mental.

« Là, où tu as appris à haïr, tu apprendras à aimer. » Un Cours D’Amour.

« La peur, est tout simplement, l’absence d’amour. » Lama Yeshe.

« La clé de la liberté : conclure chaque jugement par un point d’interrogation. » Byron Katie.

« La quintessence de l’amour, c’est l’amour du mental pour lui-même. » Byron Katie.

 

Voler nécessite deux ailes :

 

Pour moi, après un été riche et un dernier évènement : la rencontre internationale des 16 Attitudes – Éducation Universelle où j’ai animé un atelier sur le pardon.

J’ai vraiment vécu la compréhension de mes ailes brisées par d’un côté d’une aile : le jugement, la culpabilité, les interprétations, les projections….et l’autre aile brisé par mes émotions perturbées  par la peur du jugement….

 

Si les deux ailes de l’intellect et du cœur sont en harmonie, notre cœur est léger, notre intellect est soutenu par la Sagesse et notre cœur par l’Amour Bienveillant.

Cet été, j’ai développé ma capacité de Sagesse et d’Amour bienveillant que je mets au service par mes ateliers ou autres…

En effet, Par mes ateliers sur le Pardon, je fais ressortir notre capacité à retenir nos sentiments qui donnent des ressentiments ou à donner notre pardon à nous-mêmes d’abord et ensuite aux autres car nous nous rendons compte qu’en gardant rancune, nous entretenons un véritable poison qui nous empêche d’aimer notre semblable. Semblable (corps-émotions-mental-esprit) qui a les mêmes besoins que nous manger, boire, aimer…, les mêmes difficultés pour penser sainement, pour agir avec courage et sagesse, pour entrer en relation avec bienveillance, pour trouver du sens à la vie que nous menons.

Qui sommes-nous pour juger notre prochain ?

Pour cette rencontre j’ai eu 2 attitudes qui m’ont accompagnées pour animer la patience et le service.

Pardonner est juste une porte à traverser pour retrouver notre humanité avec des qualités comme la générosité, le contentement, la loyauté, le respect, la gratitude, la joie, le pardon, le courage, humilité, patience, bonté, principes, aspiration, parole juste, service (16 Attitudes) ou d’autres références.

En nous, un conflit peut persister avec deux voix(es) ou plutôt la voix(e) de l’Amour et les voix (e)s de la Peur. En effet, la peur n’est qu’une représentation de l’absence de l’amour.

Pour moi, cet été a été significatif, car où j’étais présente était là je mettais mon énergie.

J’ai choisi de développer ma capacité à aimer et à identifier chaque fois que la peur se présentait de développer mon courage pour rester ancrée sur cette voie de l’Amour.

Développer ma capacité à être présente, présente à ce qui est et l’état dans lequel je vis ce qui est. C’est pour moi, une posture face à la vie qui m’aide à développer ma capacité à aimer ce qui est.

ailes brisées.gif
L'aventure humaine

« Du jugement vient un monde condamné, et des pensées de pardon vient un monde de douceur. »

Tes erreurs viennent de tes idées limitées sur ce que tu es !!!!

Nourris qui tu es réellement !!!

J’observe ma vie depuis 56 ans, celles de mes proches et j’ai un faible pour celles de mes enfants.

J’ai une très grande sensibilité et j’ai beaucoup souffert du jugement et du regard des autres.

Mon observation m’a amené à prendre conscience que le jugement fait souffrir et donc de se rendre compte que nous souffrons et à quand remonte la première souffrance.

Très sensible aux êtres qui souffrent, avec une posture presque constante de « sauveuse », de « justicière ».

Au plus près de mes souvenirs, j’ai commencé à prendre la défense de mes sœurs et frères, ma mère très jeune. Au risque très souvent de prendre des mauvais coups et de me faire mal voir, mon impulsivité de défendre, sauver les autres était difficile à apprivoiser, elle partait plus vite que mon ombre.

Quand j’ai eu mes enfants, une grande révélation car au départ, je ne voulais pas d’enfants car je ne trouvais pas que le monde était aimable et bienveillant et je ne voulais pas faire endurer cela à mes enfants. Donc, je m’estimais responsable et intelligente de ne pas en avoir.

Et là à 31 ans, après un projet avorté « Terre de Lumière » (projet humaniste), une demande s’est faite comme je le raconte souvent à mon premier enfant, son âme a demandé à son père et moi si nous acceptions de l’accueillir. Cet appel de cette âme m’a troublé et pourtant, nous avons répondu OUI, son père et moi à ce premier enfant.

Son père et moi, issus tous les deux d’une enfance douloureuse, avions une rage quasi à bien l’accueillir, que personne presque ne le touche, une réelle protection rapprochée.

Ce fut un moment mémorable son arrivée au monde, je voulais accoucher à la maison pour le protéger du monde médical (qui me faisait peur). Pas possible, par contre nous avons été écouté dans nos sollicitations pour une arrivée en douceur, lumière tamisée, musique douce, juste la sage-femme et le gynécologue et à distance pour me laisser gérer au mieux l’arrivée de cet être précieux.

...(A suivre)

bottom of page